Les 133 membres, tiré·es au sort, de la Convention citoyenne sur les temps de l’enfant ont remis leur rapport le 23 novembre après 6 mois de travail. S’il évoque une réforme des rythmes scolaires qui, sans moyens, dégraderait les conditions de travail, il pointe surtout le sous-investissement massif et dramatique dans le champ de l’enfance, la surcharge et le manque de reconnaissance des personnels, les inégalités persistantes et l’inadaptation du bâti scolaire.